samedi 6 février 2010

Gonflé à bloc, le quizz revient en février

Pour corser un peu les choses qui sont apparemment trop faciles, il faut à la fois deviner le film et trouver les mots pour donner envie à ceux qui ne l'ont pas vu de se précipiter à la BU pour le regarder séance tenante (s'il n'y est pas, je le prête à qui veut) !

Alors, inspirés ?

9 commentaires:

  1. Charly Parthoonaud6 février 2010 à 21:24

    point limite zero?

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  2. William Aumand (Pelliculart)8 février 2010 à 12:17

    Je crois bien que tu as raison, j'attends confirmation mais on reconnait la fameuse Dodge Challenger R/T qui d'ailleurs a inspiré Tarantino avec son "Boulevard de la mort" ;)

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  3. Et le scénariste de Clint Eastwood pour "Gran Torino".

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  4. Et moi qui attendais vos raisons d'aimer "Vanishing Point" ("Point limite zéro"), ce très beau film de Richard Sarafian... Ca aurait pu continuer longtemps à vide.

    Je me lance donc, pour amorcer le mouvement. On pourrait effectivement commencer par l'amour de la vitesse et le fétichisme des voitures, même si le héros aux yeux bleus de Sarafian est profondément mélancolique, là où Tarantino privilégie un déchaînement de violence féministe assez jouissif. L'asphalte succède à la poussière, les trajectoires rectilignes du Nevada au slalom sur différentes bretelles d'autoroute: l'effet très particulier du film naît de ce mélange d'hypnose, de danger et de fatalité.

    Sarafian investit la forme du road-movie et l'épure, au gré d'un paradoxe temporel, jusqu'à la métaphysique. Kowalski (le nom d'Eastwood dans "Gran Torino", me faisait remarquer FX Molia) sillonne l'Ouest américain à la fois comme un défi et une échappatoire, narguant les flics, rivalisant avec d'autres fous du volant, aidés par quelques easy riders et guidé par la voix visionnaire d'un animateur de radio aveugle. Cartographie en filigrane d'une Amérique écartelée entre l'ordre et la liberté, le film est surtout un très beau portrait d'homme seul, absorbé par la route, jusqu'à ce fameux point limite où la grandeur épique et l'émotion lyrique s'embrasent mutuellement.

    Bref, une très forte expérience de spectateur que je vous invite à nouveau à prolonger ici, avec vos propres mots, sans timidité excessive...

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  5. Charly Parthonnaud8 février 2010 à 19:28

    J'avais fais le raprochement avec Kowalski également, mais ce qui ma frappé à la vision de ce film, c'est au milieu du film, un plan que je ne peux expliquer, le chauffeur se retrouve à conduire sa voiture côté droit et ce n'est pas un plan inversé, une réponse à cette énigme? Merci d'avance.

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  6. Non désolée aucune réponse et pas trop le temps en ce moment de revoir le film et de percer le mystère !

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  7. si c'est pour dire n'importe quoi

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  8. Je croyais que c'était l'image subliminal que l'on voit à la minute 30:56 dans Men in black

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