Demain, mercredi 3 mars, au Dietrich à 21 heures... Mad Max de George Miller (1979) ou comment un petit film âpre et fauché, tourné par une bande d'Australiens inconnus, posait les bases de l'imaginaire post-apocalyptique contemporain.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Même pas une nuit Mad Max avec la trilogie complète ?
RépondreSupprimerEn tout et pour tout et je m'exprimerai avec les termes ci-contre : c'est tout bonnement une recrudecence d'une période incompatiblement grégaire et volubile qui s'interne dans une foncière parodie expéditative du surnaturel ambitieux de l'apocalyptico-retardement simulacré de l'éphémère et tendancieuse disontinuité périodique du mouvement sensé. Il est où l'orang-outang?
RépondreSupprimerCa sent le taureau ici
RépondreSupprimeroh la jolie marmotte
RépondreSupprimer