mardi 2 mars 2010

L'Apocalypse est pour demain : troisième !


Demain, mercredi 3 mars, au Dietrich à 21 heures... Mad Max de George Miller (1979) ou comment un petit film âpre et fauché, tourné par une bande d'Australiens inconnus, posait les bases de l'imaginaire post-apocalyptique contemporain.

4 commentaires:

  1. Même pas une nuit Mad Max avec la trilogie complète ?

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  2. le directeur du zoo4 mars 2010 à 17:43

    En tout et pour tout et je m'exprimerai avec les termes ci-contre : c'est tout bonnement une recrudecence d'une période incompatiblement grégaire et volubile qui s'interne dans une foncière parodie expéditative du surnaturel ambitieux de l'apocalyptico-retardement simulacré de l'éphémère et tendancieuse disontinuité périodique du mouvement sensé. Il est où l'orang-outang?

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  3. Ca sent le taureau ici

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  4. oh la jolie marmotte

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